samedi 21 mai 2022

Page d'Or des Témoignages

Maroc Hebdo : 27 janvier 2023 

C’est avec la chanson « La quête » de Jacques Brel que Rida Lamrini introduit « Tant que je peux te dire je t’aime ». À partir de ce somptueux poème, son roman nous emmène dans d’époustouflantes péripéties en quête d’un amour.
Il s’agit d’un livre exceptionnel. Avec un style simple et captivant, et un sens du détail pointu, parfois technique. Le lecteur est bercé dans plusieurs univers : aérien, culinaire, géopolitique, touristique, scientifique, sociologique et plus encore. Le récit est imprégné d’une fibre humaniste très présente, de beaucoup d’amour et de force de détails qui renseignent sur les différentes vies de son auteur. Cela se manifeste par un courage, peu commun, celui de tout dire, de tout partager, de dénoncer plusieurs phénomènes de société. parle au cœur et à l’esprit, capte dès la première page. 
Le roman est une véritable avalanche d’émotions. La douleur et la sincérité transpirent du texte. L’auteur a eu le courage de s’être mis à nu pour traiter des sujets sensibles avec intelligence. Les émotions prennent le lecteur aux tripes, l’envahissent, le submergent pour l’engloutir jusqu’à lui couper le souffle. 
Elles ne sont nullement fabriquées, créées, imaginées pour les besoins du livre, mais vraies, réelles, véritables, authentiques. L’amour tant recherché, tant voulu, tant désiré est sublimé et se retrouve entrelacé, imbriqué dans la douleur du vécu du héros, dans ses expériences passées et actuelles. « Tant que je peux te dire je t’aime » est l’histoire d’un homme qui, après s’être évertué à sauver son couple chancelant, s’est retrouvé face à des fantômes surgis du passé, de mystérieux cadavres déterrés de leur éternel repos, de sinistres spectres dont il ne soupçonnait pas l’existence. Hippie invétéré, écrasé par son destin, il part en quête d’amour, allant de bras en bras, voguant de Casablanca à Kuala Lumpur, Moscou, Paris, Nairobi, Venise, Marrakech, Ouarzazate. C’est une invitation à un voyage par le biais des émotions et des sentiments, de la souffrance, de la douleur. Une inlassable quête d’amour, via le passé, le présent et le futur. 
Durant son errance, le héros confie à des mots sa peine, ses amours éphémères. Et pendant que les phrases s’alignent, que les chapitres s’enchaînent, des personnages émergent, s’animent dans un roman de la vie dans lequel il est projeté dans la quatrième dimension d’un monde de rêves, de visions, de fantasmagories, dans lequel il finit par trouver l’être auquel il peut dire je t’aime.

Surréel, captivant, émouvant, le genre est nouveau. La trame du roman est bâtie autour de faits historiques chronologiquement documentés. L’auteur a conjugué péripéties imaginaires et événements réels, basculant entre palpable et chimérique, allant et revenant entre passé et présent. Il a eu le courage d’écrire un roman criant de vérité et de sincérité sidérantes. Par-delà la quête sans fin de l’amour, il a abordé des sujets qui minent en silence les sociétés humaines.

On passe subtilement et avec douceur d’une émotion à l’autre, avec la nostalgie en trame de fond. Des morceaux de musique parsèment le roman. Par bien des aspects, il est une comédie musicale. Un beau roman qui, au-delà de l’émotionnel, l’imaginaire, le créatif, nous interpelle sur nous-mêmes, sur nos rapports à la famille, à l’éducation, à la société. Le roman fait vibrer les sens entre des sentiments de haine et d’amour pour dessiner une fresque humaine..
Habiba Amal Laalou Lamrani : 2 octobre 2023 
Je viens de terminer votre roman qui a traîné à mon chevet presque une année par manque de temps !
Votre roman m’a époustouflé tant par la narration que par ce mélange subtil entre réalité et fiction qui oblige le lecteur à se relire pour suivre l’auteur.
Ce qui m’a le plus intrigué ce sont les dates mentionnées avec les événements, la plupart d’entre elles me parlent si bien que j’avais l’impression de me lire …
2013 le départ de mon fils de 17 ans pour sa prépa à Paris, l’ébranlement que ça a provoqué dans ma vie. 
2015 les attentats de janvier que j’ai suivis avec émoi, accrochée au téléphone pour avoir mon fiston tous les jours. 
Le 13 novembre j’étais à Paris chez mon fiston qui venait d’intégrer son école d’ingénieur. Le soir je lui ai reproché de ne pas m’avoir emmenée au Stade de France, alors qu’il a fait l’objet d’attaques terroristes…

Par ailleurs , je peux vous dire que vous avez merveilleusement écrit ce livre. La Défense des causes justes comme celles de l’abus des enfants, l'inceste …  
Merci beaucoup, continuez de nous émerveiller par vos écrits, vous avez beaucoup de talent.
Tant que je peux te dire je t'aime, l'oeuvre de ma vie.
Chafiq EL Mernissi : 16 février 2023 
J’adore votre style d'écriture... tu t'attaches vite à l'histoire du roman. Bon vent.
Cardot Patrice : 13 février 2023 
Franchement mon cher Rida, ton écriture me transporte .... et le plus fantastique encore, c'est que je me reconnais en elle ! Ta langue est vivante, chaleureuse, musicale ! Tu es vraiment un écrivain francophone magnifique
Mohammed Ziati : 13 février 2023 
Souviens-toi que tant que tu peux écrire on t'aime et on te suivra.
Charaf Oumnay : 7 février 2023
Mon ami Charaf Oumnay a eu la délicatesse de partager avec moi son ressenti : Le paragraphe suivant et la lettre adressée à Salim est une vraie leçon de vie : le destin est la résultante de nos actes 👌.
Vos mots sortis du fond du cœur avec la douleur et de la peine vous soulagent en quelque sorte et arrivent à toucher les émotions de nous lecteurs . Merci 🙏 car à travers vous , vos peines et sentiments nous aident à supporter et
surmonter les différents obstacles et aléas que la Vie met dans notre chemin. Hamdolilah et avec l'aide de Dieu on reste confiant et soulagé d avoir fait notre devoir et essayer de céder le flambeau à nos enfants dans la limite de nos capacités et des possibilités.
Patrice Cardot : 8 février 2023 
Mon cher Rida ! Quel régal que de te lire ! Quel voyage dans la vie ! Sois remercié comme il se doit pour l'humanité et la force de tes écrits qui touchent le coeur autant que l'esprit, l'âme se chargeant de leur reconnaître la source de votre amour d'Autrui !
Avec toute mon amitié ! Patrice
Mohammed Mohattane : 6 janvier 2023 
Tant que nous pouvons te dire que nous aimons ta plume et tes publications. Bravo et nous aurons toujours faim de te lire. Fidèle amitié
Latifa Benamour : 27 novembre 2022
"Tant que je peux te dire je t'aime" Une œuvre qui parle au cœur et à l'esprit. Une œuvre qui te capte depuis la première page et c'est le plus important comme dirait Éric-Emmanuel Schmitt!
Une œuvre très singulière qui te laisse en même temps dans une nostalgie, une romance, une poésie, un rêve et une réalité parfois amère.
Singulière par toutes ses facettes dont les côtés s'arrondissent avec le temps et la lecture et ceci, dans la fluidité. Ainsi, on passe subtilement et avec douceur d'une émotion à l'autre et la nostalgie est une trame de fond; il ya du vécu là-dedans chez nous tous.
Merci mon ami Rida
Houssaine Oubrim : 28 octobre 2022
Témoignage de Houssaine Oubrim après la rencontre a la librairie Bloom Books, 25 Octobre 2022, Casablanca.
Mon cher ami si Rida Lamrini, je te remercie de m’avoir invité à la rencontre de mardi dernier, organisée à la Librairie Bloom Bookd, pour la discussion de ton roman « Tant que je peux te dire je t’aime ». Ce fut pour moi un grand plaisir d’y avoir participé.
Je reviens à cette agréable journée en répondant à la dame qui a été, apparemment, surprise en entendant qu’un homme de mon âge dise avoir eu les larmes aux yeux par deux fois en parlant de ton roman. Oui j’ai eu les larmes aux yeux dans deux passages du roman, je ne vais parler que du premier, le deuxième étant à mon avis, celui que j’avais qualifié en publiant un post sur ma page Facebook de « Bombe », je laisse les lecteurs découvrir ce passage et d’autres qui va les entrainer dans un autre monde.
Le premier, imaginer un garçon de onze ans parlant de son frère qui l’arrache à son oncle pour l’inscrire dans un nouvel établissement scolaire pour enfants de militaires. Il faut imaginer le contexte, l’amour du frère ainé soucieux de l’avenir de son jeune frère, en l’absence du père qui n’est plus.
Je tiens absolument à dire, avant de terminer, à ceux qui n’ont pas encore lu le roman de Si Rida Lamrini « Tant que je peux te dire je t’aime », que ce n’est absolument pas un roman à « l’eau de rose », comme le laisserait, peut-être, croire le titre du roman. Imaginer l'état d'esprit d'un père parlant de ses trois enfants disant " mes enfants se détestent entre eux", ça n'a rien à voir avec le style d'un "roman à l'eau de rose".
Merci cher ami pour ces moments de lecture qui me rappellent ces deux vers d’Alfred de Musset :
"Le seul bien qui me reste au monde" "Est d’avoir quelquefois pleuré."
Abderrahmane Karmane : 28 octobre 2022
Témoignage de Abderrahmane Karmane après la rencontre a la librairie Bloom Books, 25 Octobre 2022, Casablanca.
Merci à toi mon cher ami, pour avoir pensé à moi, à échanger avec toi et l’assistance de cet excellent roman, autant dans sa structure que sa composition, son style, ses histoires et surtout, les émotions qu’il procure au lecteur.  
Ces émotions-là, te prennent aux tripes, t’envahissent, te submergent pour t’engloutir à te couper le souffle. Ces émotions ne sont nullement fabriquées, créées, imaginées pour les besoins du livre, mais réelles, véritables, vraies, authentiques ! 
C’est pour cela que l’amour tant recherché, tant voulu, tant désiré est sublimé et se retrouve entrelacé, imbriqué dans la douleur du vécu du héros, dans ses expériences passées et actuelles !
Le « tour du monde » à travers les quatre coins de la planète, entraînent le lecteur dans un voyage « de quatrième type », où se mêlent actualités, analyses, rencontres, histoires, amour, passion, anxiété, angoisse et autres rapports familiaux, rapports humains, sociaux …
Bref, un beau roman qui, au-delà de l’émotionnel, l’imaginaire, le créatif, nous interpelle sur nous-mêmes, sur nos rapports à la famille, à l’éducation, à la société ….
Lors de cette rencontre, j’ai eu un flash en me rappelant, une phrase magnifique de l’une des personnages de Marcel Proust, dans son roman « Ala recherche du temps perdu ». 
Lors d’une soirée mondaine qu’elle organisait, subjuguée par la musique jouée par le pianiste hôte, et submergée par l’émotion que cela lui a procuré, s’exclama ainsi à l’adresse du virtuose pianiste, en substance bien évidemment : « il n’est pas permis de jouer du Wagner de cette façon » !
Alors il n’était pas permis d’écrire un roman de cette façon ! Beaucoup essuieront des larmes !!
Que Rayan, retrouve paix, sérénité et amour, et qu’il soit apaisé dans les futures romans InchaAllah !😉
Longue vie heureuse mon ami.
So sorry for being so prolix !!
Bien à toi mon cher!
Sophia Ammor : 23 octobre 2022

Adil Boutda : 30 sept. 2022 
Je publie ci-dessous l'affiche de la dernière œuvre de Rida Lamrini. 
J'ai écrit "oeuvre" car c'est un roman à tiroirs où s'entremêlent fiction, autobiographie et témoignage. 
Lire la suite en cliquant sur ma note de lecture
Amal Zaz : 8 juin 2022
Je viens juste de terminer ton merveilleux livre. Comme toujours, je suis fière de toi. Chaque personne se retrouvera dans cet ouvrage. Tu m’as fait pleurer à plusieurs reprises. 
Meryam Emmanuelle Bennani : 27 juin 2022
J’ai lu ton roman et j’ai passé un excellent moment trois jours de suite ! Très bien ficelé, le rythme, le suspens, l’inattendu en pilote automatique, un romantique incroyable…. 
Brahim Eljoudani : 24 juin 2022
Cher ami
Je me permets de parodier le titre de ton ouvrage en te disant : Tant que je peux lire je me délecterai de ton œuvre (mon livre de chevet) qui m a permis de retrouver le plaisir de la lecture et d apprécier ce que le Divin a donné en exclusivité à l'Humain le noble sentiment qu'est l Amour... Avec toute mon admiration.
Dounia Tourak Chraibi : 05 juin 2022
Merci à Rida Lamrini d'avoir eu le courage d'écrire un roman aussi criant de vérité et de sincérité sidérante.
Abdel Elmrini : 05 juin 2022
J'ai lu ton livre. C'est un voyage extrêmement agréable, comme comme une chanson de Cat Stevens qu'on a envie d'écouter en boucle !!!!
Najib Raihani : 27 mai 2022
Fin de lecture. Excellent roman. Un de mes préférés.
Je te félicite mon cher Rida.
Faicel Chraibi : 28 avril 2022
Je viens de terminer ton roman. Je te félicite pour avoir osé parler d’un sujet tabou familial et je te tire mon chapeau pour la manière du récit et pour ton imagination. Tu restes un grand écrivain.
Ghita Mantrach : 28 avril 2022
J'ai fini ton roman. L'histoire est touchante. J'en suis encore bouleversée. C'est une avalanche d'émotions. J'ai ressenti ta douleur mais aussi et surtout beaucoup de sincérité. Tu as su aborder un sujet très sensible avec bcp d'intelligence. C'est un exercice d'une extrême complexité. 
Ce fut un magnifique voyage où le réel se mêlait à l'irréel. Une excellente plume.
Bravo!!
Housni Sbai Idrissi : 02 juin 2022
Emouvant, Captivant, Passionnant…
Et encore, ce serait peu dire.. C'est une invitation à un voyage via les émotions et les sentiments, via la souffrance, la douleur et l’inlassable quête d’amour, via le passé, le présent et le futur. Dans une narration impressionnante au détail prés à la hauteur du talent de l’auteur.
Un livre qui fait vibrer les sens entre des sentiments de haine, mais surtout d’amour pour dessiner à la fin une fresque humaine.
Un livre qui mêle subtilement le vrai et l’imaginaire. Un livre mirifique .. à lire et à relire
Hachem Benhachem : 02 juin 2022
Un livre exceptionnel, voire un genre nouveau dans la littérature marocaine.
Cet ouvrage, qu’il m’est difficile de qualifier de roman, car alliant un mix entre plusieurs genres littéraires. Avec un style simple mais surtout captivant, et un détail pointu, parfois technique, le lecteur est bercé dans plusieurs univers: aérien, géopolitique, culinaire, touristique, scientifique, sociologique et plus encore.
Un récit, imprégné d'une fibre humaniste très présente, de beaucoup d'amour et d'une force de détails, qui renseignent sur les différentes vies de son auteur. Cela se manifeste par un courage, peu commun, celui de tout dire et de tout partager, de dénoncer plusieurs phénomènes de société que les autres plumes nationales évitent au nom d'un certain "code" à respecter... il s'agit du harcèlement en milieu professionnel, de l’adultère, de la pédophilie et même de la pauvreté !
Bravo également pour cette couverture savamment recherchée et qui marque une rupture avec le « paysage artistique » de nos romans.
Amina Taghi : 21 mai 2022 & 10 juin 2002
Très cher Rida
Vous êtes et vous resterez un grand écrivain. Toutes mes félicitations à l'auteur que vous êtes de "Tant que je peux te dire je t'aime". 
J'ai fini de lire votre roman  et j'ai été bouleversée par l'histoire de Rayan. Rayan ce personnage bienveillant, aimant, d'une grande sensibilité et qui est en grande souffrance de par ce qui lui arrive dans la vie. L'amour qu'il porte à sa femme et surtout à ses enfants est incompris. Il veut sauver son foyer mais malheureusement il n'y  parvient pas.  Beaucoup d'émotions. J'en ai versé des larmes tout au long du roman, j'ai partagé avec Rayan sa souffrance et sa tristesse  mais un passage à la page 301 donne une note d'espoir à Rayan : " j'attends un ange qui me réapprendra l'Amour, serait une délicate alliance d'esprit, de douceur, de constance. Je lui offre une éponge pour estomper le passé, une fleur pour édulcorer le présent et un baiser pour célébrer le futur". Magnifique extrait du roman
La dernière phrase du roman prononcée par Salim est belle  : "oui... j'ai retrouvé l'inspiration...la paix...et l'amour. Je renais". Le Pardon permet de retrouver la Paix et l'Amour.
Merci infiniment Monsieur Rida Lamrini pour ce très beau roman qui est captivant,  poignant et bouleversant. Bravo et toutes mes félicitations au grand écrivain que vous êtes.
Très belle plume. On attend la suite dans le prochain
Houssaine Oubrim : 12 août 2022
Je reproduis ci-après mon témoignage à propos de l’auteur Rida Lamrini  *, auteur du roman « Tant que je peux te dire je t’aime ». 
- Voir Photo du livre.
- Capture d’écran de mon post du 26 avril 2022.
Le titre du roman « Tant que je peux te dire je t’aime » cache un terrible conflit familial. Au fur et à mesure que RAYAN, le personnage principal raconte son histoire personnelle et familiale, je me dis ce titre, est-il le bon pour ce roman ? Ce n’est que quand je suis arrivé à la 249 page, en publiant sur ma page fb « UNE BOMBE » ! que j’ai compris l’importance du titre du roman.
Quand RAYAN raconte : « Mon frère Abdellah m’arracha à mon oncle et m’y inscrivit (au lycée militaire royale ndlr). L’enseignement me permit d’avoir une éducation d’excellence. Je réussis brillamment mes études, me retrouvai en lice pour les concours aux Grandes écoles d’ingénieurs, convoitées par les lycéens les plus remarquables du pays ». 
Je ne sais pas comment en lisant ce passage j’avais les yeux humides en pensant à ce « Frère Abdellah arrachant » son jeune frère à son oncle…  
J’ai eu également les larmes aux yeux au moment où le docteur Salim a donné une conférence devant des sommités scientifiques. Plus loin RAYAN dit que ce roman est « un peu de moi, un peu de mon imagination », et dit-il plus loin « N’oublions pas que c’est juste un roman ».  
C’est un roman certes et donc une fiction mais ceci n’empêche pas le lecteur de lire entre les lignes et de donner libre cours à son imagination. UN ROMAN QUI M’A ENORMEMENT TOUCHE ET SOUHAITE QU’IL SOIT LU PAR TOUS LES PERES, MERES, EPOUSES ET MARIS.
HO, le 12/08/2022.
PS/
• Pour ceux qui l’ignore voici une biographie de Rida Lamrini tirée Wikipédia : 
• Biographie 
• Né en 1948 à Marrakech, Rida Lamrini a effectué ses études secondaires au lycée militaire de Kénitra1.
• Ingénieur en informatique de l'ENSEEIHT de Toulouse, juriste en droit public de l'Université Mohammed V de Rabat, diplômé du Cycle Supérieur de Gestion de l’ISCAE, Rida Lamrini revient au Maroc en 1991 après un séjour au Canada au cours des années 80 en tant que Conseiller économique près l'Ambassade du Royaume du Maroc.
• Depuis 2001, il préside l'association INMAA et la Fédération Nationale des Associations de Microcrédit (FNAM) qui regroupe l'ensemble des Associations de Microcrédit.
• Depuis 2007, il gère et coordonne pour le compte de bailleurs de fonds nationaux et internationaux un programme de promotion de l’emploi et d’assistance des jeunes à la création de leurs entreprises dans les Provinces du Sud du Royaume.
• Source Wikipédia.

Imane Benzarouel sur Chaîne Inter : 20 juin 2022

En signant sa dédicace pour moi, Rida Lamrini avait parié qu'une fois commencé, je n'allais pas lâcher son livre et  m'a recommandé de prévoir un mouchoir pour sa lecture. Effectivement, je ne l'ai pas lâché et l'ai terminé en 3 jours avec des yeux embués.
"Tant que je peux te dire je t'aime", c'est l'histoire de Ryan un "jeune" sexagénaire qui vit un tournant dans sa vie, sa femme le quitte après 30 ans de mariage, pour des considérations matérielles surtout. Rayan tente d'abord de recoller les fragments de leur couple. Las,  il cherche consolation et réponses à ses questions auprès d'autres personnes qu'il rencontre au gré de ses déplacements et de sa navigation sur le net. Du jour au lendemain, il se retrouve sans rien, sans épouse, sans foyer et surtout sans ses 3 garçons. Après ses efforts pour regagner son épouse, il va se livrer à un autre challenge encore plus difficile, celui de regagner ses enfants et les rassembler autour de lui. Cette quête va l'obliger à déterrer d'anciens souvenirs douloureux, des souvenirs qu'il a cru enterrés à jamais. Il va s’acharner, jusqu’au bout, tant qu’il peut dire je t’aime.
A travers Rayan, l'auteur Rida Lamrini nous interpelle sur la relation dans le couple, la relation parents-enfants, les secrets de famille, le viol et l’inceste, l'amitié, la famille, l'entraide, la bienveillance, la colère et surtout le pardon ... C'est un roman actuel (sorte de chronique sociale), reliant la fiction à des évènements qui ont fait l'actualité internationale et nationale (les attentats de Paris, la disparition de l’avion de Malaysia Airlines, la tragédie du petit garçon assassiné à Tanger et bien d'autres ... On retrouve la minutie de l'auteur et son esprit de partage, dans la description des personnages, des espaces et des lieux à travers les rencontres et les déplacements de Rayan entre Casablanca, Bouznika; Kuala Lumpur, Paris, Venise, Moscou, Marrakech, Cap de l'eau, Oued Laou ... 
Un roman frais et moderne à partir de la couverture (on dirait une série américaine) avec beaucoup de références, notamment musicales, puisque le, Rayan est un romantique fan des années soixante, de la culture hippie et du "peace and love". 
Je ne vous en dis pas plus et vous laisse le découvrir par votre propre lecture. 
Portez-vous bien les amis !
Khalid Lazrak : 30 avril 2022
Ravi et enchanté de partager avec vous le talent de notre cher  Ssi Rida Lamrini grand ami du 1er Lycée Militaire Royal qui a publié un nouveau roman. Je vous en souhaite très bonne lecture : https://web.facebook.com/1818107501/videos/1395433447559156/
Houssaine Oubrim : 26 avril 2022
Cher Rida Lamrini je vais apporter mon modeste témoignage, à l’honneur que t'ont réservé les anciens élèves du Lycée Militaire Royal de Kénitra samedi dernier, celui de l’ancien répétiteur durant 3 années du 26 janvier 1966 à fin juin 1968, après ton obtention du Baccalauréat série Mathématiques.
Je me rappelle parfaitement du chétif élève Rida Lamrini entrant dans le bureau du surveillant général, se mettant au garde-à-vous, chaussant des sandales en cuir, ce qui attirait le plus mon attention, lequel fut le Major de sa promotion et Major de la matière de philosophie des trois classes réunies, BCD, économie, sciences expérimentales et la terminale « C » mathématiques élémentaires. Je me rappelle toujours d’un samedi après midi où j’ai été chargé par le surveillant général, l’Adjudant-chef Bouchet (avec toutes réserves quant au nom), de distribuer et de surveiller un sujet d'un simili d’examen en philosophie aux trois classes réunies, série économie, sciences expérimentales et mathématiques et que l’élève Rida Lamrini fut le premier à me rendre sa copie.
Je me rappelle des professeurs discutant dans la salle des professeurs du travail des élèves et de leur unanimité quant il s’agit de « l’excellent élève Rida Lamrini ». 
Je me rappelle des bulletins de notes que je remplissais toutes les quinzaines, destinés aux parents d’élèves. 
Je me rappelle de l’appréciation du professeur de philosophie, c’était une dame dont j’ai oublié le nom, mentionnant sur le livret, je cite : « Le » Bon élève.  
Tous les professeurs étaient des Français, sauf évidemment le professeur d’arabe Monsieur Kassimi. 
HO, le 26/04/2022.
Abderrahamne Karmane : 26 avril 2022
Un pur bonheur de lire ce roman ! Si poétique et si romantique, limite sensuel.
Une grande plume se révèle au fur et à mesure que l'on chemine dans ce jardin fleuri, de sentiments exacerbés, de verbes, de qualificatifs, d'actions et de l'amour pur, gratuit, sans exigence de retour aucune!
Un amour vrai, sortant d'un cœur vrai, connaissant l'auteur au grand cœur, ce roman est "presque" que dis-je, est autobiographique !! Je n'ai parcouru que 151 pages, j'ai honte d'en parler, mais je ne peux m'empêcher de saluer autant le style que l'histoire, l'imagination et la composition d'un pur cru intellectuel!
Celui qui ne l'aura pas lu, aura raté un formidable voyage dans le temps, l'espace où le réel se confond avec l'imaginaire, et aura raté l'occasion d'être transporté ailleurs et à en oublier les tracas de sa propre vie!!
Vivement que je le finisse ! Et .... Vivement le suivant !!
Amina Alaoui : 19 mai 2022 
Sur nos opinions qui deviennent des jugements, je n’ai pas le droit de juger...dixit Marcel Pagnol au festival de Cannes en 1955. Ai-je le droit de juger, O que non, ai-je le droit de dire, de décrire, de ressentir, de déblatérer, de ressortir toutes mes émotions violentes ou en douceur. O que oui.
Je viens de terminer il n’y a pas si longtemps de cela un ouvrage qui s’intitule :  «  Tant que je peux te dire je t’aime», d’un grand romancier et un grand humaniste, Mr Rida LAMRINI. Et ce roman, qui n’en est pas un réellement, puisque la première impression que j’ai ressentie, est plus un Vécu quotidien qui vous plonge dans un monde parfois si réaliste mais aussi et souvent plein de fantasmes et de scènes fantasques et allégoriques !
Que dire de cet ouvrage sans être de parti pris, tout en étant objective. Un seul mot : Captivant ! Oui, il est vrai, captivant, romancé, fantasque, réaliste, humain... Pétri d’humanisme car l’auteur donne à son héros un Personnage bouleversant d’amour envers sa Femme, ses enfants, toutes les femmes, toutes les personnes démunies, tous les êtres oubliés de la Société, marginalisés et méconnus ! 
Des scènes et des passages bouleversants et pétries d’amours incomprises ... Sans être mièvre mais avec lucidité, l’auteur donne une musicalité du travail accompli par le héros pour son dernier requiem ! D’autres êtres le suivent, Salim peinent à les reconnaître. Il n’est pas au bout de sa sidération. Les silhouettes marchent en file indienne sur les eaux du lac, avancent le long des ondes rouges qui animent sa surface. Sur une rive du lac, entourés de leurs amis, les Beatles entament avec leurs amis All you need is love.
Ainsi va l’ouvrage, agréable, accrochant, envoûtant, déroutant , poignant et plein de rebondissements. 

A lire assurément !



3 commentaires:

  1. Un livre exceptionnel, voire un genre nouveau dans la littérature marocaine.
    Cet ouvrage, qu’il m’est difficile de qualifier de roman, car alliant un mix entre plusieurs genres littéraires. Avec un style simple mais surtout captivant, et un détail pointu, parfois technique, le lecteur est bercé dans plusieurs univers: aérien, géopolitique, culinaire, touristique, scientifique, sociologique et plus encore.
    Un récit, imprégné d'une fibre humaniste très présente, de beaucoup d'amour et d'une force de détails, qui renseignent sur les différentes vies de son auteur. Cela se manifeste par un courage, peu commun, celui de tout dire et de tout partager, de dénoncer plusieurs phénomènes de société que les autres plumes nationales évitent au nom d'un certain "code" à respecter... il s'agit du harcèlement en milieu professionnel, de l’adultère, de la pédophilie et même de la pauvreté !
    Bravo également pour cette couverture savamment recherchée et qui marque une rupture avec le « paysage artistique » de nos romans.

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  2. Housni SBAI IDRISSI02 juin, 2022 15:32

    Emouvant, Captivant, Passionnant…
    Et encore, ce serait peu dire..
    C'est une invitation à un voyage via les émotions et les sentiments,
    Via la souffrance, la douleur et l’inlassable quête d’amour
    Via le passé, le présent et le futur
    Dans une narration impressionnante au détail prés à la hauteur du talent de l’auteur
    Un livre qui fait vibrer les sens entre des sentiments de haine, mais surtout d’amour
    pour dessiner à la fin une fresque humaine
    Un livre qui mêle subtilement le vrai et l’imaginaire
    Un livre mirifique .. à lire et à relire

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  3. Cher Monsieur Rida Lamrini

    J'ai fini de lire votre roman et j'ai été bouleversée par l'histoire de Rayan. Rayan ce personnage bienveillant, aimant, d'une grande sensibilité et qui est en grande souffrance de par ce qui lui arrive dans la vie. L'amour qu'il porte à sa femme et surtout à ses enfants est incompris. Il veut sauver son foyer mais malheureusement il n'y parvient pas. Beaucoup d'émotions. J'en ai versé des larmes tout au long du roman, j'ai partagé avec Rayan sa souffrance et sa tristesse mais un passage à la page 301 donne une note d'espoir à Rayan : " j'attends un ange qui me réapprendra l'Amour, serait une délicate alliance d'esprit, de douceur, de constance. Je lui offre une éponge pour estomper le passé, une fleur pour édulcorer le présent et un baiser pour célébrer le futur".
    Magnifique extrait du roman

    La dernière phrase du roman prononcée par Salim est belle : "oui... j'ai retrouvé l'inspiration...la paix...et l'amour. Je renais"

    Le Pardon permet de retrouver la Paix et l'Amour.

    Merci infiniment Monsieur Rida Lamrini pour ce très beau roman qui est captivant, poignant et bouleversant.
    Bravo et toutes mes félicitations au grand écrivain que vous êtes.
    Très belle plume

    On attend la suite dans le prochain

    Amina TAGHI

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